Lhistoire
à établi la logique reine de lexplication et de la
compréhension du monde. Cest pourquoi il est très
fréquent quon utilise pour me convaincre des discours argumentatif,
logique et raisonnable. Ainsi on me présente la logique comme loutil
primordiale de la réflexion et de la raison, et on me demande plus
ou moins de me soumettre à son hégémonie. Dautre
au contraire le rejette pour vivre dans la subjectivité. Je souhaite
ici trouver un positionnement par rapport à la valeur de la logique
pour décrire la réalité.
Rappelons ma découverte première sur la valeur de la logique :
il est vrai que jai découvert la logique et sa puissance
pour aider mon bon sens, mais je nai jamais travaillé sans
mon bon sens. La logique est très loin dêtre la première
née historiquement en moi. Pourquoi tout lui assujetir pour en
valider le sens ? Simplement parce quelle semble bien fonctionner
?
Il me semble au contraire quelle ne fonctionne pas si bien quon
me le fait croire. Jai tendance à croire quon lui attribue
une place est au-dessus de sa portée. Il est fréquent que
son usage détruise certaines connaissances de façon injustifée.
Pourquoi la logique manifestée dans la forme et la règle
comme seules justification devrait mapporter le doute et par exemple
banir ma conviction de la réalité du monde matériel.
Dautant quen scrutant les mécanismes de ma pensée
je ny trouve pas la logique comme fondement. Jy trouve des
impressions instantannées, des associations didées,
des confiances ou des méfiances. Mais je ne trouve pas la logique
comme principe premier de réflexion. Si je la trouve cest
comme un produit évolué : une forme reconnue à
reproduire. Je ne peux reconnaître à la logique une autorité
quelle na pas en moi : quand je la cherche pour maider
dans les questions essentielles, elle nest pas là. En particulier
quand je cherche à la comprendre elle. La logique se dérobe
à sa propre logique. Elle est absente dans ce qui devrait expliquer
la confiance que je dois lui porter.
Cest
sur de telle considération que Husserl va changer de référence. En
effet le mécanisme de réalité situé à
lintérieure de moi nest pas en coïncidence avec
les mécanismes objectivement logiques des réalités
extérieures. Mais cest de lintérieur que provient
toute réalité, cest donc à lintérieure
que sera recherché le prima de la réalité .
Que reste-t-il pour fondé la réalité ? il reste
le ressenti instantanné qui saffirme en moi comme la base
de la réalité : le réel cest « lidéel ».
Cest un raisonnement similaire qui conduira ce mathématicien
soucieux de la réalité des choses à choisir une nouvelle
référence de la réalité très éloigné
de lobjectivité. Husserl puise donc la réalité
au cur de lévidence , au cur de lêtre
: le ressenti pur. Mais dans la perspective de mon modèle, ce choix
était un pas de trop. En cherchant la réalité dans
un particularité de lêtre on assiste à un spécialisation
de lêtre trop précise. En cherchant toujours plus précisément
la référence on perd le sens de sa position. La référence
était cependant très proche mais il ne fallait pas la chercher
dans la précision et lanalyse qui perverti le sens. Il fallait
la chercher dans le positionnement, le contexte et la globalité
qui défini le sens : la référence est dans le
tout, dans le bon sens.
Le réel, cest ce qui est là, tel quil mapparaît
et jusquà preuve du contraire (et dans le cas contraire,
quon fasse attention à la preuve de lirréel,
sa validité sera dans le fait dapparaître plus vrai
que ce réel lui-même).
On pourrait alors sinterroger sur le problème de la fiabilité :
je sais que la logique peut être erronnée, mais je sais que
ma conviction de la réalité peut aussi être erroné.
Dans les deux cas je lai constaté en moi : pourquoi
donc donner prévalence à la première plutôt
quà la seconde.
Et la question devient encore plus intriguante quand je me demande si
cest bien la logique qui se trompe ou si ce nest pas plutôt
un mauvais usage qui maurait conduit à lerreur. Autrement
dit la logique existe-elle en-dehors de moi ? Et existe-t-elle comme
processus infaillible ? Cest une question à laquelle
il faudrait une réponse objective pour pouvoir rejeter la logique
comme appuis.
Jai
déjà expliqué pourquoi je remettais la logique en
cause, mais maintenant que nous possèdons quelques outils de représentation,
quelques point de vues précis, il est bon de voir le sens de cette
remise en cause de façon plus approfondie et surtout de déterminer
quel est le champ dapplication de la logique.
Pour
montrer le rôle de la logique allons au fondement de son usage.
Commençons par la philosophie qui est sensée donné
une explication du fondement des réalités : quelque soit
le raisonnement philosphique, il doit à un moment commencer par
un constat. Ce constat est posé comme une évidence. ou éventuellement
comme un postulat (non forcément évident). La justification
de ce postulat est établie plus ou moins techniquement ou même
passé sous silence. Cest alors que commence les explications
qui dans lensemble sont effectuée sur le mode logique. Dans
la philosophie qui se veut objective pourquoi a-t-on ce besoin dexpliquer
et de situer la réalité par la logique ? Le recourt ultime
qui nous permet dapprécier la réalité des choses,
qui nous permet de comprendre cest notre capacité de juger
qui nous est donnée. Si la logique est posé comme juge de
lévidence, quelle est donc la place de lévidence ?
Le recours au sens est inévitable dans le fait de juger. Pourquoi
poser la logique comme juge, alors que dans tous les cas cest « le
senti » qui nous fait poser le jugement. Il y a certainement
une raison. Pourquoi donc vouloir sous-mettre le sens à un maître
factice qui prend laspect de règles et de forme de langage.
On peut comprendre ce tragique besoin : cest à cause
de nos erreurs de jugement lorsquon les soumet à la seule
évidence. On voudrait trouver le moyen infaillible de ne pas se
tromper. La logique, par sa rigueur, semblait être lindividu
le plus propre à cela (au yeux de beaucoup de philosophes, mais
pas tous notamment parmi les plus moderne) le voici donc élu. Est-il
sensé dimposer ce coup de force consistant à assujetir
tout à la morale ?
Mais
à côté de son impuissance à résoudre
la réalité, la force de la logique est indéniable.
La question qui se pose alors est celle des prérogatives de la
logique : quelle est le champs daction de la logique ?
Quelles sont les connaissances qui ne peuvent se passer delle ou
en quoi est-ce quelle est nécessaire ? Quelles sont les connaissance
qui doivent se passer delle ?
Recherche
dune définition
Pour clarifier la situation, la première interrogation est la nature
de la logique : quest-ce que la logique. Il nest pas
aisé dy répondre : dans le quotidien, on peut
dire que la logique consiste à enchaîner des idées
sur un mode séquentiel avec des liens et de forme reconnues dont
lobjectif est de montrer la validité dune affirmation.
La question qui se pose alors : quels sont les enchaînements les
formes et les liens reconnues, valides ?
Pour répondre à cette question je distinguerai deux aspects
du problème :
la logique naïve qui consiste à enchaïner les idées
pour montrer la vérité dune affirmation. Dans
ces enchaînements didée la logique prend appui sur
largumentation plus que léloquence et la sensibilité
émotionnel. La logique naïve est mêlée au langage,
il nest pas forcément facile de la dissocier. On reconnaîtra
la logique naïve par quelques traits saillants : des enchaînement
didées utilisant des formes bien définie. On peut
remarquer certaines formes comme la déduction, linférence,
lexplication de causalité et de conséquence, lusage
de règles de raisonnement, la démonstration dune idée
par dautres idées liées entre elles qui converge vers
la conclusion, on peut distinguer limportance de la symétrie
dans les raisonnements, etc
la science de la logique (ou science logique) qui consiste en létude
des formes denchaînement valides et fiables : on a constaté
que les raisonnements valables suivent des règles précises.
Aussi existe-t-il une science qui recherche les règles permettant
aux raisonnement dêtre valables lorsquelle sy
astreint. Cette science autant psychique que philosophique sétend
aussi aux mathématiques. Dans chacun de ces domaines, elle conservera
des aspects propres et des contenus distincts de recherche.
Il ne faut plus rappeler que jai rejeté la primauté
de la logique naïve dans mon modèle. Mais il peut paraître
surprenant davoir négligé de parler de lexistence
dune science objective de la logique qui explique les formes de
validité de la logique naïve. Trouvera-t-on dans cette science
la réponse au raisonnement valide. Nous reparlerons plus loin de
la science logique notamment dans son aspect mathématiques qui
en est une forme les plus stricte.
Cest principalement de la logique naïve dont nous nous défions,
et pour parler de la logique naïve, il est bon de commencer par expliquer
en quoi se distingue la logique naïve de la science de la logique.
La science de la logique
Retraçons sommairement lhistoire de la science de la logique
(occidentale).
Aristote a posé les bases de cette science logique. Il introduit
deux principes nouveaux. Le premier est la notion de variables :
il propose de réfléchir aux enchaînements démonstratifs
en ne sinteressant quà la forme des raisonnement et
non plus à leur contenu. Autrement dit il parle des formes dune
démonstration générale. Les contenus de la forme
sont variables. On dit ainsi quil raisonne avec des variables. Le
deuxième principe est la réduction de la logique à
la syllogistique : cest à dire au raisonnement en trois
partie, premier terme, moyen terme et conclusion. Il cherche alors à
donner une liste de toutes les constructions possibles et montre que certaines
constructions sont valides, dautres fausses et les dernières
parfois valide parfois fausse. Dans ces principes, on trouve les fondements
de la logique qui consiste à donner des règles de validité
à lensemble des raisonnements. On discerne bien ici lécart
qui se creuse avec la logique naïve : le fait de généraliser
conduit à une forme dabsolu, ce qui diffère du jugement
naïf. Ensuite la réduction de la logique au syllogisme réduit
la logique à un mécanisme qui ne correspond pas à
une intuiton de lesprit. Il ne sagit pas de remettre en cause
le syllogisme, mais plutôt de dissocier lacte raisonnable
dune technique systématique. A quelques adaptation varié
près, ce type de logique à été utilisée
pendant de nombreux siècles.
Avec Ramus, Descarte, Pascal, on assiste à une évolution.
Devant les conclusions contradictoires et parfois ridicules à laquelle
aboutit lusage de la logique aristotélicienne, il est de
plus en plus perçu que la logique dans cette forme est insuffisante.
Plusieurs méthode paliative seront proposées : certains
avance la primauté du choix de bonnes méthodes pour daborder
une problème plus que lusage rigoureux de la logique.
Cest avec Leibniz que la logique classique est dépassé :
il propose de considérer que linsuffisance de la logique
aristotélicienne provient du fait quelle nest quune
partie dune logique plus générale quil faut
trouver. Devant le constat que la langue est sujette à un flou
qui apporte lerreur dans la démarche logique, iIl propose
de traiter la logique de façon mécanique, calculatoire qui
a plus une vocation scientifique que naturelle. Ce quil fait en
élaborant un modèle qui tente denglober la logique
dAristote. A la suite pour Aristote, on sent sétendre
lécart entre lusage de la logique avec la logique naïve.
On peut remarqué que tous ces modèles propose une interprétation
métaphysique très forte de la vérité ou de
la réalité. Deux appréciations sont possibles :
soit ces modèles sont valides, ils sont alors une modèle
de la réalité métaphysqiue, soit ils sont relatif,
partiels, et dans ce cas leur valeur de vérité et linteprétation
métaphysique quil suggère est très limité.
Lhistoire se poursuit : on réalise de plus en plus que
la logique nest pas un enchaînement de vérités
qui se déduisent les unes des autres, mais plutôt une reconnaissance
des formes de relation entre les idée qui permet détablir
une vérité relative entre elles. Cest ainsi que Bolzano
construit un nouveau modèle de la logique en établissant
une dissociation de la valeur de vérité des idée
et de la valeur de lenchaînement de ces idées. La vérité
est porté sur les enchaînements et plus fondamentalement
sur les idées. Les propositions sont alors perçue comme
des vérités qui ne sont ni dans le monde, ni dans lesprit,
mais comme un troisième monde dans lequel notre esprit possède
un aperçu psychologique. Le fait que les propositions soient vrai
ou fausse nest pas ce qui importe, cest la forme qui relient
les propositions. Dans cette démarche, on voit que la logique se
dissocie toujours plus du monde de lidée, non plus seulement
sur la forme mais dans le fond aussi. Il ne sagit plus dapprécier
les choses mentalement pour valider la validité dune conlusion,
il faut établir une logique qui règle le monde des propositions.
Ce que fait Bolzano en proposant une nouvelle formulation de la logique.
Mais derrière ce système logique, il reste toujours une
part de psychologie, lexistance des idées nest pas
désavouée, elle possède toujours une valeur de vérité.
De plus qui décidera dune méthode élémentaire
ou dune autre : cest toujours lesprit et le sens
des idées. Cest avec Frege que la logique trouve son point
de départ moderne, elle consiste à déposer la logique
du sens en reposant lart de lenchaînement de vérité
non plus sur le terrains flous des des decription ontologique, mais sur
une simple axiomatique symbolique. Autrement dit tout est ramené
à un simple système mécanique denchaînement
de symbole. Si en pratique on peut dire que la théorie de Frege
est vidé du concept ontologique. Nul nest besoin de penser
aux idées pour raisonner avec sur leur objectivité. Les
idées, la perception des contenus na aucune importance sur
les valeurs de vérité car le système rapporte la
logique à un simple processus automatique. Précisons
que si lutilisation du système est déposé de
toute nature ontologique des idées, la fabrication du système
nen est pas exempt : les axiomes choisi repose sur une abstraction
complexe de lidée de vérité loin dêtre
dépourvue dontologie. De plus il est possible dutilisé
la logique en laccompagnant dune pensée ontologique,
elle est seulement inutile à la logique. La logique sen passe
mais ne lexclue pas pour autant. Lontologie est seulement
rayé car il ny a pas besoin de lexpliquer ou la justifier
pour faire utiliser le système qui est purement mécanique.
Seulement le système de Frege élabore contient encore des
contradictions que lon appel des paradoxes. Russel entreprend une
reconstruction complète du système axiomatique pour reconstruire
la logique. Pour éviter les paradoxe, il envisage une logique en
strate (grosso modo on ne peut former une phrase quen utilisant
des brique (des proposition) issue dune strate inférieure).
On peut dire sous réserve de découverte ultérieure
de contradiction que Russel et ses contemporain ont achevé de construire
un modèle axiomatique des principe de la logique. En effet, leur
modèle semble non contradictoire devant leffort de tous,
et il est capable dexprimer toute la logique que lon a utiliser
jusquà ce point.
Mais on est loin davoir clos le chapitre de la logique pour autant.
En effet, la question qui se pose alors est la suivante : la logique
est-elle nécessairement close à ces seuls principes ?
Peut-on créer une autre logique, dautres axiome, dautres
construction logique ? Seraient-elle plus féconde ? Dans
le cadre de cette recherche, on peut dire que les découvertes se
sont multipliés toute autant dans la quantité que par les
résultats surprenants de leur nature. Depuis, il a été
développé de nombreux système logiques différents.
En particulier des logiques non classique qui nutilise
pas du les même bases du raisonnements, par exemples des logiques
qui au lieu de considéré uniquement les valeurs vrai et
faux, se base sur un nombre plus grand de valeurs, sans parler des logiques
flous et beaucoup dautres principes très variés.
Au terme de ce bref historique, on constate que la science logique est
issue de la logique du quotidien. Dans une volonté dobjectivité,
elle a pris un chemin de plus en plus précis, symbolique et technique,
pour être toujours davantage dénué de son sens psychologique
et aboutir finalement à une situation de relativité :
il semble quil nexite pas de logique qui englobe toute les
logiques. Tout au moins les logiques que lon a trouvé ne
sont pas absolues (on démontre cela avec lusage même
de ces logiques).
De plus ces logiques ne sappliquent finalement quaux objets
tellement absolues quelles ne sont applicables quaux mathématiques.
Si ces mathématiques servent éventuellement de modèles
dans certains problèmes pratiques, il ne sont absolument pas garant
de leur objectivité. Voilà un constat important : la science
logique de lobjectivité à réduit son champ
dapplication à la mesure de sa volonté de précision.
Il se trouve que mon souhait dobjectivité consiste à
me diriger dans la vie. La science de la logique ne paraît pas vraiment
adapté à cet objet. Reste à savoir quelles sont les
capacité de la logique naïve.
La
logique naïve et les réalités
La logique du quotideien ne procède pas du tout des mêmes
besoins et des même mécanismes que la science logique.
Pour pouvoir définir la logique naïve commençons par
positionner la logique scientifique. Mais alors comment se fait-il que
cette logique mathématique existe, quel en est la nature ?
Nous reviendrons sur la question plus loin, lorsque nous parlerons des
mathématiques. Pour linstant, contentons-nous de considérer
un point : la logique scientifique nest pas seulement une construction
humaine, elle est issue de la recherche dobjectivation de la logique :
elle est la logique conduite sur le terrain de son objectivité.
La logique scientifique est donc un principe qui se discerne dans la trame,
elle est lapproximation dune condensation réellement
existante dans la trame. Cest une abstraction permet dexpliquer
les mécanisme qui relie lobjectivité des réalité
de la trame. Cela se manifeste par des énoncé sous forme
de structures et denchaînements. La logique scientifique a
dailleurs montré que une partie de la trame semble
être rigidement établi sur la logique, ce sont les mathématiques
ainsi que beaucoup de principes naturelles et matériels qui suivent
ces lois logiques et ou mathématiques. Maintenant toute la trame
est loin de reposer sur une telle logique, en particulier toute la subjectivité
qui façonne la vie et la pensée.
Dans
le cadre du modèle que nous exposons, il faut constater que la
pensée repose sur des association didée et des ordres.
Ce mécanisme est assez éloigné des principes logiques.
Mais il nest pas nécessaire davoir un tel modèle
pour constater que la logique mentale est très loin de la logique
mathématiques. Des psychologues et des psychanalystes ont insisté
sur le fait que nos raisonnements que nos démarchent étaient
bien souvent pseudo-logique. Cela signifie que la logique est souvent
un prétexte, et la logique est souvent faussé dans son usage.
De façon générale, sans établir là
une preuve fondé sur une grande classification dexemple.
Il me semble assez évident de constater que mes raisonnements dans
le quotidien ne repose pas du tout sur une démarche logique. En
particulier ma perception de lobjectivité ou mes raisonnements
quand je suis seul face à un problème dobjectivité.
Je pourrais même dire que pour établir un raisonnement logique,
je ne raisonne pas logiquement. La logique est un produit construit sur
des normes extérieures à la pensée naturelle, cest
un apprentissage (et ce nest pas le plus facile). Dans la communication
entre individu, la logique est beacoup plus employé pour parvenir
à lobjectivité, tout en étant très loin
de se soumettre rigoureusement à ses règles.
Quest-ce donc que la logique naïve alors ? Cette méthode
qui consiste à déduire et induire des affirmations par toute
sorte de formes et de règles répertoriées (mais dont
la classification et lexistence possède un degré important
de subjectivité).
Réflechissons au rôle que possède la logique pour
démontrer des affirmation. Lorsquon parle des réalité
de la trame, vouloir convaincre quelquun dune objectivité,
cest lui faire apparaître la réalité et lévidence
dune condensation. Pourquoi la logique serait-elle nécessaire
pour parvenir à convaincre la raison ? Je vais commencer par exprimer
lambiguité du mot raison. En effet je nai pas choisi
le mot « raison » pour définir la logique
naïve car ce mot recouvre un sens trop large. Quand on parle de raison
on peut tout aussi bien penser au raisonnement quà la faculté
de comprendre, ou bien au fait de juger, ou tout simplement au fait de
percevoir les choses. Cest pourquoi jai préféré
parler de logique naïve qui consiste à appliquer des raisonnements,
des règles, des formes afin de produire des affirmations convaincantes.
Mais de quoi est faite cette logique explicative démonstrative
si elle si différente de la logique mathématiques. Il me
semble que la logique naîve est pourtant faite dun peu de
logique mathématiques. Mais alors pourquoi, comment, et dans quelle
mesure ?
Ce que je propose ici na rien de démonstratif, cest
plus une hypothèse ou une présentation subjective quautre
choses. Mais lhyptohèse me semble a peu près cohérente
avec les modèles que nous avons développé. Voici
donc développé une présentation de la logique naïve
par une liste des différents éléments qui compose :
une partie de logique mathématique ; il est évident
que la logique naîve possède une forme très différente
de la logique scientifique. Mais je pense que les deux logiques sont issue
dune même source présente dans la nature : lexistence
de règles logiques qui définisse la relation de vérité
entre les idées. Si la logique mathématique est lobjectivation
de la logique dans la trame, la logique naîve en est une forme plus
faible et beaucoup moins précise. Lexistence de cette logique
dans la trame, conduit à son utilisation (même inconsciente)
dans le langage qui sinspire nturellement des réalité
de la trame. La logique naîve serait donc une forme dintégration
de la logique de la trame traduite sous forme dhabitude sociale
et linguistique. Cela se manifeste par un usage naturel et enrichi dune
culture des règles reconnue généralement valide.
Il ny a donc rien de plus naturel à voir une réalité
acquise par des schéma et dess habitude sociale qui sont cristallisé
sous certaines forme et méthodes naïve. Le discours
logique ne serait en fait quune interpolation socialisée
et psychologisé plus ou moins précise de mécanismes
de la trame. Plus la description de ces formes est précise plus
on approchera des mathématiques. Pensons à Aristote qui
a fait un travail dorfèvre un décrivant une condensation
déjà très précise de ces principes à
partir dun contexte peu propice (encore que lécole
platonicienne y était plutôt propice).
Une partie associative : il semble assez claire que pour convaincre
un interlocuteur, les formes et les règls utilisé par le
discours ne sont pas limité au forme logique issu de la trame.
Il existe de nombreuse autre règle et forme qui se prête
à convaincre dobjectivité. Citons en premier lieu
lassociation didée. Elle consiste à user des
associations didée naturelles qui se trouve dans la réalité
extérieure, dans la société ou le langage. Ce sont
des raccourcis ou des passerelles permetant de se rapprocher de laffirmation
voulue. On peut penser que ces mécanismes dassociation repose
sur le fait que certaines association sont naturelles et communes dans
la culture. Ainsi le fait de les évoquer conduit à stimuler
certains concepts. Et lorsque ces concepts sont proches de laffirmation
à atteindre, lobjectivation se fait beaucoup plus facilement
que hors contexte ou que par un chemin unique logique. Cette aspect de
la logique naïve est fréquemment utilisé pour « démontré ».
Mais ce nest en tout état de cause quune approche associative,
contextuelle qui conduit sur des chemins balisé (par la culture
ou alors par ce qui est discerné chez linterlocuteur). On
constatera par exemple que lusage du « donc »
est souvent étable sur de simples associations didée
et non sur une règle logique comme ce mot pourrait le sous-entendre.
Une partie schémative : il se trouve que la logique nest
pas le seul moyen schématique de progresser dans les idées.
En effet lanalogie est par exemple un excellent moyen puisquil
repose sur la réutilisation dun processus mental. On pourrait
dire quil est un moyen par excellence pour convaincre dans le sens
ou il réutilise des schémas tout tracé. Mais plutôt
que dalogie je préfère parlé de schématisme.
Lanalogie suppose une reconnaisace de similarité et une appropriation
des prolongements de la similarité. Cest un schéma
particulier. Par schéma, jentend utilisation dune strucure
pour donner un prolongement qui nest pas strictement logique. La
pensée fonctionne énormément aec des schémas.
Cela nest pas logique au sens mathématiques car tout usage
logique dun schéma devrait en avoir justifié préalalement
la pertinence. Lutilisation de schéma nest donc pas
fondée sur des principes logique. Si lon est attentifs au
discours démonstratif, on peut constater que lutilisation
de schémas est très répandu dans le discours argumentatif.
Ces schémas peuvent prendre des formes très singulière,
il sont de toute nature sociale, mental ou individuel. En fait le schéma
est proche du principe de lassociation, à la différence
quau lieu dêtre juste un côtoiement associatif
qui place un contexte, cest tout un processus mental parfois complexe
qui induit un prolongement.
La partie psychologique : il serait maladroit de parler des mode
de la transmission des convictions et de lobjectiité sans
parler du caractère psychologique de cette transmission. Il existe
en effet un mltitude dattidude psychologique qui servent à
apporté limpression dobjectivité sur une ffirmation.
Linsistance, la confiance, la persuasion , lautorité,
le rayonnement, lintimidation, lattendrissement, la séduction,
et tous les facteurs psychologiques de nature très varié
On pourrait associer ces modes de persuasion à des schéma,
mais vu la complexité de la psychologie, il me semble préférable
de les ditinguer. Ils correspondent à des mécanismes proprement
individuel et interne, il ne porte pas sur le contenu de la connaissance.
Connaître le mécanisme et la nature de limpact psychologique
dans le processus dobjectivitation demanderait une connaissance
importante en psychologie. Par exemple, faire la part entre la partie
sociale, la partie innée des mécanismes psychologique et
celle issue de lévolution sociale et individuelle me semble
inaccessible. Décortiqué limpact réel de la
psychologie pour chaque individu reviendrait à comprendre objectivement
leur histoire mentale. On peut dire quil arrive que la psychologie
compte pour une grande part dans lacte de transmission dune
conviction par argumentation. On dépasse très nettement
laspect logique. Mais tout cela consistait à comprendre que
le discours qui use dune forme logique produit un impacr psychologique
qui intervient dans lobjectivation et qui ne porte pas sur la contenu,
mais simplement sur la forme.
Bien sûr, la liste na rien dexhaustif, ni même
dobjectif quand à sa classification. On pourra ajouter bien
dautre formes et encore davantage de subtilités.
En fait pour être précis, il faudrait essayer de classifier
les situations, les objectif pour montrer comment la forme, les mode,
les méthode du discours sadapte pour engendrer laffirmation.
Même si une classification objective nest sans doute pas envisageable,
une étude approfondie donnerait des idées plus précises
clair les mécanismes argumentatifs et donc sur létendue
et la nature de la logique naïve qui parvenu à ce point devient
un mot dont la subjectivité est devenu objective.
Déplaçons le sujet vers une brèche que nous venons
douvri. Au lieu détudier la forme et les règles
étudions lautre bout du probleme : la conviction, limpression
dobjectivité. Pour convaincre, il faut créer chez
lindividu un concept mental de croyance qui repose sur une satisfaction
cohérence (qui résonne bien avec les concepts sur les quels
il est construit). Attitude qui sexprime culturellement de façon
très varié. Il faut que le discours repose sur des bases
déjà acquises. Plus il y a de résonnance, plus la
conviction sera acquise. Cest pourquoi les schémas et lassociation
sont si importante dans le raisonnement. Il faut de plus que les concepts
proposé évite dêtre heurter par dautres
concepts qui viendrait linfirmer.
En conclusion, on peut dire que largumentation de la logique naïve
utilise le langage, elle est donc soumise au réalité du
langage. Cest ainsi que pour convaincre, on trouve des méthodes
associée à tous les types de la réalité :
La réalité du langage : cest lusage des
mécanismes socio-linguistique qui consiste à utiliser les
habitudes de langage et de la comunication. On peut imaginer lusage
de ces habitude à tous niveau : les formes de la mise en scène
du contexte, du discours lui-même, les forme des phrases et pourquoi
pas les figures de style, leuphonie, lusage des mots et idée
à la mode, etc
La réalité mentale : qui correspond à la tentative
de faire bien « résonner les flux », cest
à dire à rendre bien cohérent lexposé,
à facilité lacquisition sur le processus naturel de
lassociation et de la perception. Pour augmenter limpression
de cohérence, on peut notamment créer des cohérences
interne au discours qui rejaillissent en impression sur lidée
de cohérence du discours et de laffirmation finale.
La réalité de la trame : Elle consiste à prendre
appuis sur les fait extérieurs, que ce soit les exemples, les généralité
ou la logique. Lusage de la réalité de la trame pour
convaincre consiste à utiliser les liens fort et objectifs de la
trame. Et comme on la vu ces liens existe à toute sorte de
niveau : de lévidence matérielle, en pensant
par lévidence catégoriel, jusquaux évidences
logiques sous toute ses formes (chronologiques, déductive, inductive,
etc )
Toute ces réalités se coupent et se recoupent, se mélangent
dans lusage de formes plus moins identifiable. Prenons lexemple
de la forme logique du syllogisme, on peut constater que son appuis repose
sur une objectivité de la trame (le syllogisme est une réalité
issue de la trame), allier à une forme linguistique (en 3 étapes).
Il consitue ainsi un schéma psychologique fort. Si sa porté
nest pas universellement valide, son usage confère une idée
de fiabilité. Ainsi ce nest plus seulement le contenu qui
transmet la persuasion mais aussi la forme par le rôle psychologique
de confiance et dhabitude.
Cest ainsi que la logique confère une idée de fiabilité,
une force de persuasion dautant plus forte que le discours est bien
modelé sur cette forme.
A la suite de ce petit exposé, on peut penser que le raisonnement
et largumentation naïve est un procédé complexe,
flou et multiforme. Mais son perception dans le modèle de la réalité
à 3 niveau (langage, pensée, trame) permet den avoir
une vision cohérente. Evidemment il faudrait approfondir ces réflexions
pour avoir une idée plus précise et plus objective de la
logique naïve, mais il me semble quà ce stade nous avons
suffisament ébauché son portrait pour sen faire une
vague idée, en particulier la connaissance de la multiplicité
de ses sphères daction.
A la suite de cette explication, la critique du raisonnement, de la logique
naïve prend toute son envergure :
La logique en tant quhabitude purement socio-linguistique ne peut-être
spécialement accréditée dune valeur objective
par rapport à la réalité. Si lhabitude est
centré sur la recherche dobjectivité, on peut accordé
une confiance à lhabitude, mais ce nest pas lhabitude
en soi qui est garant de cette fiabilité. Le fait que la réalité
logique est une forme authentique de la trame ne suffit pas pour que la
forme saffranchisse du fond Nous verrons que cest là
un point crucial de la logique mathématique qui a justement fait
le pas de saffrranchir du fond dans la sphère limité
des mathématiques, et encore seulement en théorie qui est
rarement pratiquée. Lélasticité des réalités
naïves conduisent à ce que la forme logique sapplique
sur un sol mouvant. Une interpolation peut être décalée
de la réalité, peut aussi être tordu. La forme nest
pas complètement dénué de pertienence à lobjectivité,
il arrivera même certains domaine où la confiance en la forme
est suffisante pour se soustraire au sens, mais il faut alors identifié
les limites de ce domaine. Pour lessentiel, la forme nest
pas le centre de validation de lobjectivité ; lobjectivité
naïve dépase largement la forme et elle est loin de recouvrir
le même champs dexistence. A ce propos, il est intéressant
détudier les formes de la logique dans dautre culture,
notamment la culture indienne qui est un centre dintérêt
pour certains logicien. On réalise quelle diffère
de la logique occidentale à plusieurs titres. En définitive,
la recherche dobjectivation ne nous conduit pas à nous intéresser
fondamentalement à la forme sociolinguistique des méthodes
de communication argumentative.
Ainsi Lorsquon veut mesurer lobjectivité lors dun
discours sur les réalités de la trame, il faut chercher
à relativiser les apports visant à maximiser les mécanismes
logique. En effet, sils sont convaincant, cest dabord
relativement à un contexte ou à une maximisation du processus
mental de conviction. Autrement dit même si cette partie (la forme
logique) est primodriale pour une bonne communication, elle nest
pas fondemmentale dans le sens ou une grande partie de cette logique est
indépendante du sens de la réalité. La réalité
pourrait souvent être comuniquée en se dépouillant
de sa coquille logique.
Une analyse de lobjectivité dune argumentation nous
conduirait à distingué ce qui dans les form logique utilisé
relève réellement de lobjectivité fondé
sur le sens. Cest cette seul partie qui établie réellement
lobjectivité. Maintenant il est évident que la dissociation
de cette partie du discours en argumentation fondée sur le sens
et forme sevant à la conviction psychologique est non seulement
subjective mais aussi difficile tant lensemble est imbriqué
dans tous les niveau de la réalité (matériel, linguistique
et mentale). Si ce que je vais tenté dexprimer possède
un sens, il mest avis que le contenu « réel »
de largumentation logique coïncide en nature avec la science
logique. Puisque cet argumentation est réel cela signifie quelle
est fondé dans la trame, si cette logique est fondée dans
la trame cest quelle entre la logique scientifique. Maintenant
je pense que sa forme sera éloigné des notre forme morderne
de la logique scientifique. Il y a fort à croire que son usage
sera de nature beaucoup moins précise. A linverse on aura
compris que ce nest pas lusage de la forme logique scientifique
qui donnera une authenticité à la logique, aussi précise
que soit les formes utilisée.
Lobjectivité de la logique
Rechercher une logique objective consiste à établir dans
les condensations du langage quelles sont celles qui servent à
établir lobjectvité de cqui est désigné
par le langage. Cest ce quà fait Aristote dans létude
des syllogismes.
Un des principaux aspect de la logique consiste à reconnaître
des formes générales de discours qui apporte lobjectivité.
Une des formes les plus efficace de la logique semble être la construction
de règles logiques. Il serait intéressant dessayer
de construire des logiques sur dautres voies que lélaboration
de règles, cest dailleurs plus ou moins ce que nous
faisons en recherchant à établir lobjectivité
de la réalité. Mais le sens du mot lggique est davantage
destiné au principe qui se définiess par des règles
sur des forme de langage. On peut penser que si lon veut véritablement
trouver les règles logiques qui gère le disours on est amené
à suivre une démarche similaire à lhitoire
logique qui va senfermer progressivement dans un symbolisme dénuer
de sémantisme, cela provient de deux origine : la logique
comme forme conduit à une science de la forme qui se denue du sens.
Mais cela nest possible que par lexistence de ces formes générale
dans la trame. Il est intéressant de constater que cette démarche
aboutit à une multiplicité de logiques satisafaisantes.
Ces le principe e subjectivité de la trame qui nous fait
comprendre que plusieurs voies souvrent lorsquon cherche à
exprimer précisément la réalité : la
précision ouvre la voie à plusieurs forme de cohérence.
(Minimiser le nombre de règles logiques ou maximiser la porté
de la logique, entrevoir la nature de la vérité sous un
mode ou un autre, etc.. autant de voies, autant de système logique).
Lorsquun modèle logique est élaboré, il y a
deux façons de le percevoir : on peut le considérer comme
un pur système de règles sans valeur sémantique dont
le seul intérêt est la cohérence ou alors on peut
le considérer comme une modélisation symbolique dune
partie de la trame qui concene lenchaînement des vérités.
On pourrait même dire une partie de cette partie de la trame car
tous nos modèles logiques se révèlent avoir des conséquences
différentes, il nexprime donc pas toute la « trame
logique ».
En
fait la notion de trame logique ou dune partie de la trame nette
qui serait formée des règles logiques est une question très
intéressante : existe-t-il réellement une partie de
la trame formée en condensation qui se distingue du reste dans
le sens ou elle est un support absolue de la forme dune autre partie
de la trame ? Au vue de ce que nous savons de la réalité,
il semblerait audacieux de croire en son absolu, il convient donc de parler
de la trame logique avec beaucoup de relativisme. Dautant que les
recherches sur la logique formel on tendance à montrer des résultats
lourd de sens :
la multiplicité des voies pour construire des logiques éloigne
dautant plus lidée dune logique absolue.
Un autre constat qui est un résultat issue de la logique la plus
admise et la plus pratiquée dit que tout système logique
fondé selon les méthodes classique est incomplet.
Un autre résultat dit que les système logique sont non seulement
incomplet mais quon peut ajouter ou retirer certaine axiomes sans
que cela ne gène pour le moins du monde la cohérence
de la logique : autrement dit la logique nest pas unique, elle est
multiple.
Sans ajouter le fait que la logique repose toujours sur des explications
métalogique qui sexprime quavec des mots courant. La
logique ne peut être formé complètement en-dehors
du sens commun.
Ainsi parler dune logique universelle semble de plus en plus hors
de portée. Sans présumer de son inexistence, il est manifeste
que la connaissance de la subjectivité intrinsèque de la
trame ne nous invite pas à y croire en une logique absolu, si on
ajoute à cela que les recherches logique conduisent à cette
subjectivité, une opinion fondée ne semble pas éloigné.
Mais la modestie reste de mise car la trame reserve souvent des surprises.
En dautre termes le rêve dune logique absolue est toujours
aussi loin que le rêve de labsolu. Au résultat il semble
plus raisonable de parler de système logique que de logique. Voilà
très sommairement résumé un avis éclairé
par la trame sur la logique symbolique et sur une logique absolue.
Il
reste à voir ce quon peut raisonnablement attendre de la
logique naïve. Lorsque je critique la primauté de la logique
comme validation de lobjectivité, cest évidemment
pour les discours portant sur nimporte quel niveaux de la réalité :
la trame, la pensée et le langage. Il semble adapté dutiliser
davantage la logique dans les réalités de extérieure
(dans la trame) car les autres réalités sont dune
nature beaucoup plus subjective qui semble moins se prêté
au réalité de la logique. Seulement, même si on restreint
lusage de la logique aux réalité de la trame, la logique
ne recouvre pas le processus de mise en évidence de lobjectivité.
La recherche dobjectivité peut-elle se fier à la logique
naïve ? Et bien la réponse est double :
non si les faits sont utilisé sous lusage seul des formes
de règles (de façon mécanique). A moins quil
existe un constat objectif de fiabilité de cette réduction
au mécanisme (les mathématiques par exemples)
Oui sil existe toujours un contrôle postérieur par
un test dobjectivité globale. Combien de fois lusage
abusif de la généralisaton conduit à des absurdités.
Autrement dit si lusage de règles objectives conduisent à
affirmer une subjectivité manifeste, il doivent conduire à
une remise en cause de la validité de cette logique à ce
domaine dapplication. Il faudra donc approfondir le problème,
et chercher des méthodes dinvestigation plus adaptée.
Seulement le manque dhonnêté intellectuelle conduit
souvent à se contenter de subjectivité, ou parfois elle
passera inaperçue. Il est donc nécessaire davoir beaucoup
de vigilence quant à lusage de la logique. Mais il y a davantage :
si lusage des règles logique viennent à infirmer une
objectivité manifeste, la priorité reviendra à la
plus grande objectivité (et donc au bon sens) qui sera souvent
la remise en cause du bien fondé de la logique. Vue la difficulté
détablir une échelle dobjectivité, il
semble bien que certaines questions délicates devront rester en
suspens. Une erreur fréquente de la logique est la généralisation
qui consiste à supposer la constance du cadre : en effet quand
on raisonne on oublie quen généralisant, il se crée
des liens avec de nouveau concept, la validité de la logique nest
souvent plus applicable . Le test dobjectivité ne doit pas
oublier dobservé si un changement le cadre conserve la stabilité
du phénomène considérer. Il est fréquent que
certains concept qui nont aucun rapport avec le cas particulier
aient un rapport dans un cas plus général et quils
interfère sur la généralisation. Par loublie
du changement de cadre dans le changement déchelle on crée
beaucoup derreur de logique. Le changement de cadre conduit à
des situations surprenante. Par exemple ce qui semblait être un
cadre peut devenir un contenu ; cela sest vu fréquement
en philosphie et en mathématique (la logique conduisant à
léude delle-même nécessite une métalogique
en est un exemple).
La
logique en tant que règle dobjectivité me semble donc
un outil primordiale dans lacquisition de la connaissance. Primordiale
dans le sens où elle réduit à des tâches mécaniques
objectives des démarches intellectuelles flou, difficiles et abstraite.
Mais un des problème majeur de la logique est de déterminer
son propre champs dapplication. En effet lusage de la logique
devrait toujours être conforme à son objet à savoir
lobjectivité. Or il est manifeste que les règles logique
sont souvent utilisée fréquemment dans des cadres éminemment
subjectif. Peut-on prendre au sérieux la validité objective
de telles démarches ? Je pense que notre habitude logique
est mal conditionné : on cherche généralement
des lois, mais on se pose moins facilement la questions de la validité
dusage de ces lois. Ce nest pas parce que ces lois présente
un caractère général quil est absolu. Il est
vrai que la question de la validité des lois est souvent beaucoup
plus difficile que létude de la loi elle-même .
Il faudra un recul par rapport à la loi quil est difficile
davoir rapidement.
Dans létude de son domaine de validité, on constate
que la logique est un outils formidable pour les terrains objectifs et
structuré par des formes et des structure objective. Car la nature
de la logique est de possèder une prise objective sur les structures
objective. Sur ces terrains la logique est en quelque sorte un démultiplicateur
de force dans le sens où elle permet de rendre automatique, mécanique
(voir calculable par une machine qui na aucune idée du sens
véhiculé) des principes qui sont établi objectivement.
La logique à bien des propos a fait ses preuves dobjectivité.
Il serait insensé de la dénigrer, considérer ses
fragilités comme une remise en cause de ses capacités serait
un caprice fondé sur une aspiration dabsolu deçu.
Bien au contraire, la logique est un outils du bon sens pour étendre
la porté et lefficacité de ce bon sens. On peut même
dire que souvent la logique se pose comme une étalon de lobjectivité
par le fait rétroactif que sa grande précision dans certains
domaines permet détablir des mesure de la dans daute
précision. Par exemple les mesures en physique peuvent être
accompagné dun calcul dincertitude qui nest autre
quune mesure de leur subjectivité. Ou encore le calcul de
probabilité permet de mesurer la subjectivité dun
modèle mathématique sur un cas concret. (le Test du khi-deux).
Ce principe est du plus haut intérêt, il établit dailleurs
la noblesse de la logique dans ces domaines : on dépasse la
simple decription des faits en leur adjoignant une mesure précise
de leur lobjectivité.
Pour ajouter à la noblesse de la logique on pourrait dire aussi
que son usage na pas seulement décuplé lefficacité
du bon sens, mais aussi quelle a ouvert des nouvelles voie en posant
des questions internes à son objet : on reconnait là
le principe de synergie de toute réalité. Ces nouvelles
voie ont apporté de nouveaux principes efficaces et sensé.
La logique est donc bien un outils essentiel du bon sens. Et même
un peu plus quun « outils » dans le sens où
loutils est limité à une action impersonnel, alors
que la logique ne fait pas que porter son action sur la réalité,
elle est elle-même réel et permet ainsi dapporter une
démarche qui lui est propre à létude de lobjectivité.
Après avoir rejeter la primauté de la logique et lavoir
réduit au rang « doutils efficace »,
nous navons pas résolu la question primordiale : quelles
sont les limites dapplication de la logique ? Connaissant mieux
la logique, on peut décliner la question : quel sont les limites
dapplication dune démarche logique ?
Les faillites de la logiques
Le raisonnement logique possède ses limites. Aussi nous voulons
essayer de voir quelques remarques qui atteste de cette limitation. Montrons
que la logique ne peut-être reçu comme principe de base,
puis de montrons quelques limitation du champ daction de la logique.
On comprendra la difficulté dune telle démarche. Nous
ne lavons pas approfondi, ni même structuré. Voici
donc en vrac quelques limites de la logiques.
la plupart des logiques (excepté les derniers acquis de la logique
mathématique qui sont cependant innaplicapble à la logique
naïve du langage) présente des défauts manifestes.
De nombreux paradoxe ont été mis en uvre. On pourra
se reporter à la brève présentation des paradoxes
précédente. Il et vrai que tout paradoxe peut-être
évité en complexifiant la logique. Seulement un système
clos est innaplicable à la logique commune. Dans lensemble
tout le monde pense que la trame est logiquement bien cohérente.
Autrement dit on ose raisonnablement espérer en lexistence
dune logique satisfaisante pour exprimer la réalité
ou plutôt on croit à la cohérence logique de la partie
de la réalité qui peut être exprimé par la
logique. Mais ces défaut accumulés en cours de route et
cette multiplicité de logique différente ne témoignerait-t-il
pas de la fragilité de cette croyance ? La connaissance de
la subjectivité de la trame ne nous inviterait-elle pas à
relativiser lidée même de cohérence de la logique.
Tout ne se moule pas au forme de la logique : le champ dapplication
de la logique est limité. Beaucoup de principe, de concept, de
perception de la vie sont incompatible avec la forme logique. Pour ne
siter que les concept damour, de temps, de joie, de valeurs. Etc
Il est vrai par contre quelle sapplique remarquablement bien
dans dautres secteurs de la vie notamment en math. Ainsi la logique
semble être une réalité au champs limité.
la logique au sens de règle nest quun conteneur :
si on lui cherche une définition précise, on pose en général
la logique comme un ensemble de règle sappliquant à
un contenu indéterminé pour conduire à de nouveaux
contenus. En cela la logique est creuse, elle enchaîne les réflexions
par lusage de règle vide du sens de ces réflexion.
La logique ne fournit donc pas de contenu. Ainsi une théorie logique
ne contient rien dautre que des règles. Mais avec cela on
ne peut rien faire dautre que posé cette théorie comme
une uvre dart à admirer. Pour parler de lobjectivité
il faut des contenus. Or il semble quil nexiste aucune prise
pour soumettre à la logique le contenu naïf de la vie. Cest
pourquoi la logique ne semble pas pouvoir être à la base.
Elle ne contient pas le monde, une logique satisfaisante est séparé
du monde et en théorie elle ne peut pas avoir de lien avec lui.
Le seul lien quelle peut avoir est un lien dévidence
de bon sens quon appelle en terme technique linterprétation
du système ou la modélisation. La logique est donc très
éloigné de la réalité quelle est sensé
englobé. En quoi pourrait-elle donc lexpliquer en apportant
lobjectivité.
Ainsi La logique ne permet pas détendre une connaissance
à elle seule, il lui faut de la matière et une interprétation
qui la relie à cette matière, sans dire que cette matière
est floue.
La logique ne peut pas être défini avec la logique :
pour la définir il faut faire appel à dautre chose
que de la logique. A du langage, à du symbolisme, à des
concept primitifs, qui ne sont pas fondamentalement logique. Ainsi la
logique ne se suffit pas à elle même.
La logique repose sur beaucoup de principe mystérieux et indéfinissable :
le langage, la pensée, le temps, etc Pourrais-ton délibéremment
postuler sa supériorité à tous les autres principes.
Si les « réalités » immatérielles,
hors trame ou en bout de trame sont supposé avoir une existence
(Dieu âme liberté humaine, ), il semble fort que la
logique ait peu de partage avec de telles « réalités ».
Ce qui rend difficile denvisager la logique comme principe premier.
Car dans tous les cas elle est incapable de donner une idée objective
de ces existences (ou inexistence).
la logique nexiste que dans le contexte de validité que lui
donne sa définition. Or la nature de la trame montre lincapacité
denfermer la réalité dans labsolue dun
tel contexte, aussi la logique est contextuelle et non absolue.
Lexistance de la logique repose sur lexistance dautre
réalité. Comme toute existence la logique na de réalité
quavec « le tout » de la vie. Entre autre
la logique nécessite le langage, elle un processus qui ne peut
être dissocié de cette réalité, même
si on arrive plus ou moins à lui donner une certaine figure propre.
Linterconnexion dans la trame est profonde. La logique ne peut être
posé comme fondement puisquelle est indissociable du tout.
A cet égard la démarche de la logique mathématique
est du plus haut intérêt : elle présente laspect
de ne pas posséder de contradiction tout en rigide, objective et
précise au plus haut points. Seulement, il est claire que la logique
mathématique et le langage courant sont des mondes complètement
différent :
la logique mathématique est le modèle dune réalité
absolue (ou idéal) qui agit sur des objets de nature
absolue. Ainsi les mathématique modélise des
condensations très stable (objective) de la trame dans le sens
où son usage est dune objecivité non mise en défaut.
Nous reviendrons sur la question mathématiques car le constat du
succès de la logique mathématique possède un intérêt
propre et des questions propres.
le langage quant à lui est on ne peut plus subjectif, il interpole
la réalité au travers dune subjectivité incessante.
Il semble donc impossible dappliquer les logiques mathématiques
au langage sans se préoccuper de lobjectivité dune
telle méthode. Autant dire que cest larrêt de
mort signé dune quelconque prééminence de la
logique dans le domaine des jugements de la vie.
Ainsi quiconque avancerait dans la voie qui consiste à utiliser
les résultat de la logique méthématique dans la vie
courante est condamné à des très probable contressens. En
donnant un sens concret à une forme logique, on sort du champ dactivité
de la rigueur de la logique et cela conduit à des ineptie. Cela
est du à la mouvance du sens des mots commun par rapport à
la rigueur inflexible des règles de la logique
La voie symbolique offre un avantage certain, mais elle perd le sens des
contenus, la logique ne peut plus être reliée au sens. En
rompant la connexion avec le sens, imaginer que la logique puisse fonder
une base de la vie, de la philosophie et du sens lui-même est il
sensé.
En parlant de la logique scientifique, cest le constat de la gigantesque
inertie de la trame qui nous fait penser que cette logique est réellement
fiable. Mais rien naffirme sa valeur absolue, la trame à
déjà su nous montrer bien des fois la relativité
des absolus.
La complexité est une barrière à la logique, en effet
le logique sappliquant sous formes de processus élémentaires,
elle se trouve complètement limité lorsquil sagit
détudier une réalité très complexe.
Or la complexité peut-être telle que ni lhomme, ni
même les machines, ne peuvent envisager de la comprendre dans une
décomposition en détails logique. Il ne faut pas se méprendre
sur la complexité : même sil arrivent quon
puisse étudier un phénomène globale au milieu dune
grande complexité (organisation structuré, attracteur étrange,
chaos, phénomène dissipatifs, ). Il ne sagit
pas là dune règles générale. La complexité
peut se présenter sous forme dune inaccessibilité
complète ; dans le détail et parfois même dans
la globalité.
Dans ce sens, la psychologie est la plus fréquente limite de la
logique, on peut penser que cet objet à son origine
dans la complexité et peut-être même dans limmatérialité.
La largeur de la psychologie dans la vie donne une mesure de lincapacité
de la logique.
la logique mathématique (seule à la prétention de
labsolu) est un acquis qui ne cesse de se perfectionner : elle
est devenu très complexe, multiple et ramifiée. Comment
penser ainsi quelle puisse être un principe élémentaire
de la vie.
En philosophie le raisonnement logique oblige de partir dune base
pour construire la réalité. Seulement comme le montre la
trame les bases sont fréquemment remise en cause car elle ne sont
pas suffisamment objective pour résister au assaut de la subjectivité.
Nest-il donc pas plus sensé de raisonner dans lautre
sens : partir de ce qui est évident et de chercher ensuite
les conséquence basiques. Cest à dire partir de la
globalité de notre état et aller vers la cause élémentaire
de façon objective, plutôt que de simuler artificiellement
(subjectivement) le monde en posant arbitrairement les bases et en constatant
que le point de simulation prévue est atteint. Il est vrai quon
ne peut remettre en cause le principe demmettre des hypothèse
dont la valeur objective est démontré par les fruits quil
a porté. Mais il faut choisir des hypothèse qui séclairent
elles-même part leur objectivité, ce qui nest pas le
cas le plus fréquent en philosophie. Ainsi le raisonnement logique
ne semble pas un fondement objectif. Et cest un constat fréquent :
les bases utilisées pour produire des raisonnements logique sont
souvent beaucoup moins empruntes de bon sens que les conclusions issue
de ces raisonnement (ou que des affirmations intermédiaires qui
servent à définir des prolongement plus subjectif). Ainsi
ce nest pas la logique qui établi la validité mais
le sens. Partir doù nous sommes pour connaître les
bouts est inaccessible à la seule logique. La logique à
toujours besoin dune base. La démarche logique est donc une
simulation de fausse confiance. La vrai démarche est inverse. La
logique nest quun outil.
La logique est souvent une source de perversion de la réalité,
car pour avancer la logique a besoin de bases et dès quune
base sert dappui ; il est trop tard, on na plus le droit
de se rétracté. Ce principe est propre à la forme
logique. Or la vie nest pas ainsi faite, le sens, la réalité,
le principe du symbolisme ne sont pas catégorique de la sorte.
La logique du quotidien ou même la logique philosophique prend la
valeur de ces contenu dans un langage qui nest pas logique.
Sans vouloir aller trop loin, il me semble que les capacités de
la logique à démontrer sont gigantesques. Si on ne peut
pas tout montrer, il est tout de même possible de montrer à
peu près tout ce quon veut. En jouant sur les sens, la forme
logique se prête à dincommensurable contenu. Ainsi
la logique peut établir un chemin entre des idées les plus
éloignés qui puissent être envisagé. La logique
peut aboutir à des conclucions les plus biscornues. On peut emboiter
logiquement des schémas les plus incongrus, il suffit pour cela
de créer un schéma adaptateur. Cest lart de
du sophisme. Une technique consiste à séloigner assez
loin de deux concepts quil faut rejoindre pour revenir ultéreurement
à une conclusion commune. En séloignant on gagne dans
la mouvance des mots, la subjectivité accumulé sur le parcours
ne permetra pas de rendre une erreur objective. Evidemment le bon sens
se refuse à ce genre de démonstration. Je ne dis pas là
quon peut convaincre quiconque de tout et nimporte quoi, mais
quil est possible denchaîner logiquement beaucoup plus
de chose que le bon sens ne le permet. Un tel constat nous montre la faiblesse
de la logique à être fiable. La logique sur un support mouvant
na pas de fiabilité et encore moins à long terme.
Son usage est donc limité à des proximités objective
qui rend sont usage objectif. Cest au bon sens quil revient
toujours den juger.
Dans ces remarques nous avons envisager alternativement les critiques
de la logique mathématique, de la logique philosophique et de la
logique naïve. Sans les séparer fondamentalement, car dans
lensemble elle procède toute dune recherche dobjectivité
du raisonnement par usage de la forme.
En conclusion si la logique est un outil puissant, elle témoigne
elle-même de son insuffisance. Si le bon sens est loin dutiliser
la seule logique, car beaucoup de chose ne peuvent être raisonner
logiquement, le bon sens entretient avec la logique un rapport fécond
dans bien des domaines. On pourrait caricaturer cette conivence dans la
démarche suivante :
Au départ, logique se confond au bon sens,
Puis on est défait en voyant que la vérité ne provient
pas du bon sens. Car lévidence trompe.
On saperçoit que certaines règles dans certains domaine
apporte une capacité de fiabilité plus grande que lévidence.
Dès lors le bon sens accepte ces règles comme règles
du bon sens .
La bon sens soumis à la règle sinterroge alors sur
le bon sens de la règle. (la logique naît alors comme discipline).
En sinterrogeant sur la règle, le bon sens montre que la
règle demande à être précisée.
En établissant la précision de la règle, le bon sens
saperçoit que cette règle nest pas suffisante
au bon sens.
Dans ce parcourt, le bon sens a gagné la connaissance dune
règle qui est une réalité de la trame. Ainsi le bon
sens est avant, le bon sens est après, et le bon sens est aussi
là quant il acquiert la fiabilité de la règle.
Détermination du champs dapplication
Le but de la logique est de trouver des règles qui permettent de
ne pas se tromper. Mais où donc est nait cet idée quil
serait possible de trouver des règles qui permettraient de ne pas
se tromper. Cest lorsquon a remarqué que la règle
avait de meilleurs résultat que lévidence. Ce jour
là on a faussement cru que la règle détronnait lévidence.
Au lieu de voir que la règle enrichi lévidence, on
a cru que la règle supplantait lévidence. Voilà
lorigine de la confiance en la logique.
Ce qui a rendu la confusion possible, cest la complexité
quentretiennent la règle et lobjectivité :
devant une erreur, on dira plus facilement que cest un mauvais usage
de la logique plutôt quune infirmation de la logique. La foi
dans la logique était né.
En fait, en définissant la logique comme une règle, on lui
donne en même temps le pouvoir de pas se tromper : la règle
est un principe mécanique, il ny a pas derreur dans
un mécanisme. Lerreur sera imputable au champs dapplication
de la règle qui nest pas respecté et non à
la règle elle-même. Mais avec un tel raisonnement il est
possible de poser nimporte quel règle. Pourquoi ne le fait-on
pas ? Parce quon cherche les règles qui ont du sens.
Et seul les règles dont le champs dapplication est général
possède du sens.
Une logique satisfaisante sera donc une logique qui définit la
règle et le champs dapplication de la règle. Cest
ce que font les mathématiques et les logiques mathématiques :
les règles sont poser sur des objet précis qui seul vont
bénéficier de ces règles. Ainsi les règles
mathématiques sont correctes. Et cest linterprétation,
la modélisation concrète qui seront flous.
Mais quen est-il lorsquon passe à la vie courante ?
Comment trouver le champ dapplication dune logique quelconque
à la vie courante ? Et quen penser et surout comment
létablir ? Il semble que le bon sens soit la seul règle
général pour y parvenir. Le champ dapplication sera
premièrement donner par le succès de lexpérience
elle-même. Puis il sera étendu par lanalyse et la cohérence
qui permettront denvisager jusquoù la stabilité
des conditions est compatible avec la logique en jeu.
De plus il apparait difficile de préciser le champs dapplication
du fait même que ce champs dapplication est flou. Il conviendra
alors de définir à chaque usage de la règle si lemploi
est ou non objectif (on comprend que quand il lest vraiment on se
passe de le dire). Il se trouve que par lexpérience et la
cohérence le champs dapplication de la règle devient
lui-même une objectivité (ces contours resteront forécément
subjectif comme pour toute condensation). Autrement dit les méthodes
détude de létendu du champ dapplication
doivent elle-même conduire à lobjectivités.
Evidemment la spéculation nest pas exclue, mais elle doit
être préciser comme telle. Tel est le gage de lobjectivité
dune démarche. Si lusage de lhypothèse
est confirmée par lexpérience et la cohérence,
elle prend alors un caractère plus objectif. Comme toujours lobjectivité
se construit donc à partir de lexpérience et de la
cohérence.
Il
est fréquent quon déborde le champ dapplication
de la règle, par lusage danalogie. Par exemple l
usage hors contexte de la logique mathématique en appliquant ses
conclusion à la logique générale repose sur lidée
que la logique est quelque part immanente (universelle, absolue et donné)
ou alors que le monde est fondée sur un principe mathématiques.
De tels débordement du champ dapplication doivent donc être
considéré comme très hypothétiques.
Revenons
au champs dapplication de la logique dans le discours. Il faut dépiseter
les mauvais usage de la logique. Cest pourquoi à tous les
pièges du langage, à tous les artifices de détournement
de sens, il faut ajouter tous ces modes de discours qui, au lieu de rechercher
le sens, le bon sens, lobjectivité, utilisent des techniques
reposant sur les formes logiques. La puissance de ce détournement
permet détablir faussement lobjectivité de ce
qui nest que subjectivité. Cest la plus pénible
des erreurs car elle nest erreur quau sens de lhonnêteté.
Dans une telle demonstration bien mené, on ne peut trouvé
derreur objective. La seule erreur est dappelé objectivité
ce qui nest que subjectivité. Etablir lerreur est donc
forcément long et pénible puisquil faut disserter
sur les contours et non pas sur la forme. Cest une recherche qui
est beaucoup plus délicate que le discours sur la condensation
elle-même. Délicate, mais bien sur pas hors de porté
puisque erreur il y a. On ne parle pas ici des situation ambigues où
lobjectivité est objectivement une affaire dopinion
(du au contexte qui défini le regard que lon porte sur lobjet
ou à la différence de précision des contours exigé
pour qualifier une condensation dobjective). Au nombre de ces artifices
sont de nombreuse méthode qui pourrait être chacune des outils
puissant dobjectivité lorsquon les utilise dans le
bon sens. En voici quelques unes
lanalogie : qui peut présente des abus dobjectivité
dans lusage de son principe de prolongation. Elle établi
une réalité par une correspondance sensé pour ensuite
dévoyer le sens dans une prolongation insensé de cette correspondance.
le raisonnement inductif : il est une source intarissable derreur
dobjectivité par labus de généralisation.
le raisonnement déductif : il est la base du raisonnement
logique, et nous navons que trop disserté sur la fragilité
de ce genre de raisonnement dans le cadre du langage commun.
le langage discursif qui peut facilement éloigner le sens à
force de précision bien dirigé.
le langage intuitif : on pourrait penser y voir là le bon
sens, et bien non, lorsque lintuition nest pas passer au crible
de la globalité elle génère très facilement
une grande subjectivité. Cest la fertilité de limagination.
Etc
On trouvera dans cette liste lidée que pour chercher lobjectivité,
il ne faut pas quitter la globalité : lensemble du discours,
lensemble des outils, lensemble de la réalité,
lensemble du contexte, etc
La lecture critique dun raisonnement logique devra donc se
soumettre à la règle suivante : observer si la logique
proposé nous conduit à observer une condensation qui trouve
résonance dans la trame ou bien uniquement dans les bases du discours.
Voilà un critère essentiel pour la critique des raisonnements
logiques.
Appliquer
la science de la logique (en particulier la logique propositionnelle)
au phrases du discours serait un non-sens. La force de la logique en mathématique
réside dans le fait que les mathématiques sont la science
des abstractions parfaites : le rond parfait, le carré parfait,
le oui parfait le non parfait, la vérité parfaite, lerreur
parfaite. Mais la vie de par limpossibilité dun définition
rigoureuse rend lapplication entièrement caduque. Le raisonnement
logique ne peut pas être démonstratif dun point de
vue sémantique, la démonstration doit venir de lobjectivité.
Maintenant comme nous lavons dit, il y a des catégories.
Certains sujets se prêtent mieux à la logique que dautre,
du fait de leur caractère beaucoup plus structurel ou tout simplement
leur caractère logique dans la trame. Par exemple les sciences
exacte sont des sciences logiques. Mais il ne faudra jamais généraliser
abusivement.
En
conclusion, il semble prudent de veiller à ce que le raisonnement
logique ne dépasse pas le cadre de la place qui lui est assigné.
Ce quil semble faire trop fréquemment. Cette place cest
aussi à nous de la déterminé. Si on devait décrire
en définitive le champs dapplication des règles logiques il
suffirait de dire quelle doivent être appliqué là
où la trame nous montre que leur usage y est adapté. Au
delà de la tautologie, il faut comprendre le sens de ce que lon
affirme.
Après avoir passé tant de temps à détruire
la logique, il est temps de la recrédité. Avant de rejeter
la valeur essentielle de la logique, il faut lui rendre toutes ses lettre
de noblesse. Il faut redire et affirmer que la logique nest pas
le moindre des éléments pouvant nous aider dans la vie.
En effet, non seulement elle sapplique a beaucoup de situation,
mais elle a fait preuve dune pertinence, dune solidité
dune fiabilité dans une très large gamme de ces situations.
De sorte que la logique est dune objectivité exemplaire dans
son domaine de validité (forcément imprécis). Et
ce domaine se révèle très vaste.
Ce que jai pris du temps à établir, et que jai
longuement étayé, consiste à comprendre que la logique
possède elle aussi un domaine de validité et que le bon
sens nous le fait constater objectivement. Cest parce que cette
idée ne me semblait pas globalement acquise et source de nombreuses
confusions que jai tant insister.
Mais si lont voulait établir un traité de lobjectivité,
la logique ne serait pas en reste. Et il me semble fondamentale de ne
pas la négliger dans son vaste champs dapplication sous le
prétexte que ce champ est limité.
Le
prodige de la logique formelle
Les mathématiques ont découvert par abstraction une forme
très particulière pour la logique formelle : la logique
mathématique peut-être réduite à un langage
de règles symboliques satbles. Autrement dit faire des mathématiques
correctement c'est utiliser des règles purement mécanique
de succession de symbole. (Plusieurs règles sont possibles, souvent
équivalente d'ailleurs, mais il suffit qu'elle soit stable). Il
n'y a aucune compréhension à avoir dans les mathématique.
Pour être correcte, elle doivent seulement respecter des agencement
précis de régles complètement mécanique pouvant
être réalisée par une machine (un programme informatique
très simple en l'occurence). Cette remarque n'a rien d'anodin :
elle signifie que le sens contenu dans les mathématiques peut-être
enfermer dans de simple symboles muni de règles mécanique
et qu'au bout de quelque manipulation le sens reste correct. Le respect
de la règle empèche tout contre sens.
On vient de trouver là quelque chose d'assez formidable sur le
plan de la réalité du langage : le symbole semble contenir
complètement le sens, de sorte qu'il ne subit aucune altération
par manipulation. Avec un sens objectif au départ, le sens manipulé
sera lui-aussi objectif.
C'est une propriété fondamentale de la logique formelle
: elle est une réalité de la trame qui est fiable dans son
domaine de reconnaissance : si une forme logique est reconnue dans la
trame le langage logique s'applique efficacement à cette forme.
Pour être plus précis, si une forme logique est distinguée
dans une réalité objective le sens issue du langage logique
( le sens issus des manipulation du langage formel au dessus du sens initial)
possède lui-aussi l'objectivité.
Cette manipulation du sens se fait par l'usage des symbole et des règle
de logique. Le sens est résumé dans des symbole. Les relations
logique possède elle aussi un sens. Ainsi toute expression logique
(une combinaisons des symbole selon des formes logique) possède
un sens. On peut voir ce surprenant constat dans la nature : la manipulation
des symbole conserve l'objectivité.
Prenons un exemple très connu : la résolution des problème
par mise en équations. Deux briques plus trois kilos font le poid
de quatre briques se met en équation sous la forme
2x+3=4x.
La manipulation symbolique donne :
3=4x-2x puis
2x=3 puis
x=1.5
On distingue là exactement le schéma décrit :
le délestement du sens pour l'usage de la règle symbolique
qui permet de récupérer un sens correct à la fin.
Ce n'est là qu'un exemple élémentaire mais il montre
le pouvoir de la réalité logique. L'enfermement du sens
dans un symbole (la variable x), la manipulation selon des régles
de calcul. A chaque étape, on peut s'interroger sur le sens de
contenu par la phrase. Il est bien correct. Et au final on a même
réussi à réduire l'expression à une forme
plus simple correct qui nous donne un sens nouveau mais au combien objectif
par rapport au donnée initiale : on connait le poids de la brique.
On discerne là le miracles de la règle symbolique : elle
manipule le sens en conservant l'objectivité du sens. En fait,
c'est plus que cela, mais nous n'entrerons pas dans les détails
(de la théorie des modèles par exemple). L'usage principal
de la logique est d'étendre l'objectivité c'est ce qui nous
intéresse ici. Quand en plus on peut l'étendre vers des
lieux ou tous se simplifie comme dans le cas de notre équation,
la logique formel apparaît vraiment magique. Les règle manipule
le sens. C'est assez surprenant. C'est d'autant plus surprenant que notre
théorie du langage ne s'y prête pas du tout aisément.
On distingue là que la logique formelle est un lieux de la trame
au propriété très particulière.
On peut se représenter la logique formelle comme une sorte d'abstraction
suprème, (une sorte d'absolu) de telle sorte que tout sens pouvant
s'y enfermer « ressort intact » après manipulation.
On devrait plutôt dire n'est pas dégénéré
par les manipulations. J'ai une façon bien personnel de parler
de ce phénomène, je parle d'univocité du sens :
un sens qui ne peut pas glisser, qui ne peut pas dévier qui est
toujours conforme à lui-même malgré les relation de
sens, qi n'est pas influencer coloré par le contexte. On possède
là un sens stable, un sens unique. C'est pourquoi je parle d'univocité.
C'est une sorte d'abus de langage, car il faudrait plutôt parler
de pepétuation de l'objectivité par construction symbolique,
mais retourner la perspective au niveau du sens en observant que le sens
n'est pas altéré par la manipulation symbolique est commode
et conforme à l'approche initiale (nous avons traité ici
l'équivalence, mais bien d'autres formes sont envisageables et
l'idée de sens stable s'étend plus loin).
Voir la logique formelle comme une abstraction est interessant. C'est
une sorte d'idée valable dans beaucoup de contexte, de même
que l'idée de cercle se transpose à beaucoup de contexte
et existe pour lui-même en tant qu'abstraction. La logique est donc
une abstraction des formes de la pensée objective. Et il semble,
fort heureusement pour nous, qu'elle possède l'avantage d'une relative
accessibilité et simplicité (elle est accessible par usage
de symbole et des manipulation mécanique dont beaucoup sont simple).
On pourrait même poser là une forme fondamentale de la logique
formelle : pour être du domaine de la logique, le système
symbolique utilisé doit être fait de règles de manipulation
(construction, remplacement, juxtaposition,...) de symbole univoque et
stable. Univoque pour signifier qu'il n'y a jamais aucune confusion possible
de sens et stable pour dire que cela se poursuit quel que soit la multiplicité
des usages accompli. Ainsi la logique formelle est une règle de
manipulation purement mécanique dans le sens où les manipulation
sont défini clairement et sans aucune ambiguité.
La vrai question qui se pose est pourquoi toute la logique fiable (et
les mathématiques avec) peut-elle se ramener à cet usage
de règles univoque et mécanique ? Une réponse
possible est que cette vérité est un simple constat de réalité
de la trame : la réalité fiable et univoque est symbolique.
En fait on peut seulement dire la réalité de la logique
formelle symbolique est de nature fiable et univoque. La réciproque
est moins facile et peut-être pas garanti d'ailleurs, mais ce n'est
pas notre intérêt actuel. Un autre constat surprenant est
que la logique symbolqiue peut être réduite à une
présentation très réduite alors qu'elle porte en
elle un champ immense de réalité (les mathématiques).
Maintenant la simplicité de la logique est juste une porte d'entrée,
il est possible de construire des règles logiques d'une complexité
importante. Il reste néamoins que la logique se réduit à
des règles étrangement accessibles. Cette réduction
rappelle l'idée d'abstraction qui place ainsi la logique dans la
réalité de la trame de façon très naturelle
(la logique est un motif de la trame).
On est donc dans là une réalité d'un ordre très
particulier : une réalité de la trame qui aide à
percevoir les réalités de la trames. Par le simple fait
qu'elle nous montre des schémas répétés et
toujours constant et stable (là où la logique s'applique
dans la trame).
Maintenant il faut être prudent sur la fiabilité de la logique
dans la trame : la logique est un outil fiable de prolongation de
l'objectivité uniquement dans les domaines où la logique
s'applique rigoureusement à savoir : les domaines où la
logique prolonge effectivement l'objectivité. Cette redondance
n'est pas assi tautologique qu'il ne paraît. Il s'agit de comprendre
deux choses :
de même que pour le cercle qui n'existe que comme abstraction, on
peut dire que la logique n'est assurément fiable qu'en tant qu'abstraction.
Dè qu'on applique la logique à des réalités
de la trame, elle possède une certaine distance avec la logique
de sorte que la logique est utile pour voir la forme, mais elle n'est
qu'une idée de la réalité. De même que la logique
naîve parle en utilisant les règles de la logique formel
avec beaucoup de succès, elle ne pourra pourtant pas prétendre
à la fiabilité. De même la logique, appliquée
à des réalités de la trame, conduit à des
réalités qui sont de nature relativement objective. Mais
il existe une perte d'objectivité en ligne qui ne permet pas de
prolonger l'objectivité par l'usage de la logique avec une confiance
aveugle.
la perte de la fiabilité parfaite n'équivaut pas cependant
à la perte de toute fiabilité : la reconnaissance d'une
fome logique dans la trame induit automatiquement une sorte de fiabilité
à la prolongation par la logique. Autrement dit même si la
logique ne s'applique pas parfaitement, il restera potentiellement un
prolongement possible par la logique. La fiabilité de cette prolongation
est très variable selon les domaines d'application.
On discerne là le problème fondamentale de la logique naïve
: l'usage de la logique inspire la confiance car par nature elle prolonge
l'objectivité. Seulement la prolongation est plus ou moins fiable.
Ainsi quand aucune autre source de perception parle, on ne sait jamais
si une prolongation logique est fiable ou non. Elle est fiable par nature,
mais limité par expérience. De plus quand elle est limité,
on sait automaitquement qu'elle ne s'utilise pas et on ne l'utilisera
donc pas. De n'utiliser la logique que dans les lieux où elle fonctionne
conduit alors à penser que la logique fonctionne toujours et donne
un sentiment de confiance probablement erroné là on ne sait
pas si elle fonctionne. (Le sentiment de fiabilité de la logique
est terriblement augmenté par l'existence d'un lieu où elle
fonctionne systématiquement : les mathématiques.)
Nous
avons abordé là le problèmes des modèles :
quand on utilise la logique dans une situation de la trame, on dit qu'on
repéré une forme logique. Mais « repérer
une forme logique » signifie que la prolongation logique semble
s'appliquer avec succès. Ainsi modéliser par la logique
c'est reconnaître les lieux où l'application de la logique
fonctionne avec succès. Pour cela, il faut une connaissance fine
de la logique et du domaine considéré. Une bonne modélisation
doit pouvoir reconnaître la forme logique qui apporte un maximum
de succès, mais aussi autant que faire ce peut les limite de la
fiabilité observée.
Dans
notre discours les mathématiques tout entières ont été
incluse dans la « logique formelle ». Mais n'existe-t-il
pas une séparation entre les mathématiques et la logique
? La logique ce sont les règles qui permmettent de passer d'un
affirmation symbolique à une autre (mais c'est aussi la recherche
d'un fondement à ces règles). En fait comme pour la logique
il existe deux sortes de mathématiques, les mathématiques
formelle et les mathématiques naîves. Les mathématiques
formelles sont celle que l'on fabrique à partir des règle
de la logique formelle, les mathématiques naîve sont les
mathématique que nl'on avait toujours pratiqué jusque là...
Ici nous parlerons des mathématiques formelles.
Les mathématiques, ce sont donc des formes élaborée
de l'usage logique. En fait pour être plus précis on pourrait
dire que les mathématiques sont le lieu de développement
de la logique : les mathématiques sont le lieux des objets univoque
qui permette ainsi l'application rigoureuse (et pas seulement approché)
de la logique sans aucune contradiction constaté. Les objet mathématiques
sont de même nature que les objet logiques. Ils sont univoques autant
pour les règles que pour les symboles (qui ne sont d'ailleurs pas
fondamentalement séparés). Ainsi les mathématiques
(formelles) se distinguent de la logique en ce qu'elles sont le lieu d'application
des règles de prolongation. Les mathématiques dessinent
les différente forme ou structure de la logiques. Nous verrons
que le concept de forme est important en mathématiques. Une mécanique
complexe possède une forme, c'est ce qui apparaît de façon
saillante dans les mathématiques. Les mathématiques deviennent
donc elles-même des règles de prolongations de l'objectivité
qui étale toute sorte de formes.
La logique, elle, est davantage l'étude des formes minimale de
prolongation. En effet on a ici un autre constat de la trame : la logique
semble être impressionnament réductible.
Ainsi les mathématiques et la logique sont deux branche d'une même
pratique : la recherche de prolongation d'objectivité parfaitement
fiable par univocité. Les mathématiques étant construite
par déploiement dans l'objectif d'exhaustivité des formes
de prolongation. Alors que la logique est construite par minimalité
: c'est la recherche des règles de prolongation minimale pour suffir
à décrire différente catégorie de réalité.
Il se trouve qu'il existe plusieurs sorte de socle minmaux logique et
donc plusieurs sorte de mathématique mais nous en reparlerons.
Au résultat on a trouvé dans la logique (et les mathématiques)
une réalité pour le moins surprentante vis à vis
de notre objectif : une réalité permetant d'étendre
la perception de la réalité avec fiabilité parce
qu'elle nous parle d'une organisation immensement présente et stable
de la trame : la logique. Le plus surprenant etant l'existance des mathématiques
: une réalité qui semble s'étendre avec avec une
parfaite fiabilité aussi loin que l'on veut (pourvu qu'on en respecte
les règles)
Vu les prodige de la logique il semblait naturel de chercher à
l'étendre au plus loin. Mais c'est là que beaucoup d'abus
ont été commis : on a appliqué la logique en des
lieux où la forme logique n'était pas spécifiquement
objective dans la trame. On a appliqué la logique en au delà
du domaine d'application de ces lieux. De plus la subjectivité
qui existe dans la longueur de la fiabilité de la logique est toujours
à l'avantage de la logique, on a vu pourquoi.
La Science est recherche de la réalité objective partageable.
Le sens est le ressenti instantanné d'un tissu organisé
de concepts formant une unité cohérente liée à
la totalité de nos aquisitions (qui sont pour chacun un autre sens).